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elections présidentielles 2022 - Page 2

  • CHRONIQUES DES PRESIDENTIELLES A VANVES : ENFIN !

    A Vanves, comme en Suisse, «il ne faut pas se presser» surtout en période de vacances où une grande majorité de vanvéens sont partis prendre quelques jours de repos. Enfin, le couleurs de l’Ukraine flottent sur l’hôtel de ville  depuis jeudi, aprés l’annonce par le maire d’une collecte qui débutera lundi au centre administratif fans le cadre d’une opération menée par l’association des Maires de France (AMF) avec la Protection Civile. Enfin,  la campagne d'Emmanuel Macron pour la présidentielle est lancée après l’annonce de sa candidature hier, avec une importante opération de tractage ce week-end.

    Un nouveau tract du candidat Macron va être distribué à 2,5 millions d’exemplaires ce week-end, par les militants malgré le contexte ukrainien, et une affiche qui sera apposée d’ici au début de semaine prochaine, imprimée à 250.000 exemplaires. Espérons que les militants LREM de Vanves soient présent samedi matin, place de l’Insurrection prés du marché et d’Intermarché et au centre commercial du Plateau, comme ce fut le cas jusqu’à présent pour les militants soutenant Valérie Pécresse (LR/UDI) ou Fabien Roussel (PC), les autres étant trés discrets.  D’ailleurs, il était question, dans l’entourage du candidat, qu’il s’exprime sur les réseaux sociaux, et si la situation le permet, il pourrait effectuer son tout premier déplacement en tant que candidat lundi en Île-de-France

    Un vanvéen sera au cœur de cette présidentielle dans le staff  de Macron  qui chapeautra la campagne du Président: Gabriel Attal qui devrait être porte parole du candidat, peut être en en binôme avec une femme au profil d'élue locale : Caroline Cayeux, présidente de la fédération des villes de France et accessoirement ex-LR, pourrait occuper ce second poste.  Julien Denormandie, ministre de l’agriculture devrait quant à lui prendre la direction de la campagne. Clément Léonarduzzi, chargé de la communication du président, quittera l'Elysée pour rejoindre le QG de campagne. Son rôle sera crucial au sein de l'organigramme puisqu'il devra notamment faire le lien entre les anciens et les nouveaux macronistes. Jonathan Guémas, la plume du président devrait aussi quitter le palais pour rejoindre la campagne. Enfin Sébastien Lecornu devrait aussi avoir un rôle dans la campagne en tant que responsable en charge des élus locaux et de comités locaux. Une fonction qui l'obligerait à quitter le gouvernement.

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES : UNE VANVEENNE EXPLIQUE POURQUOI LE CLIMAT EST L’OUBLIE DE LA CAMPAGNE

    A L’occasion d’un dossier du quotidien Le Monde sur «le climat l’oublié de la présidentielle», une vanvéenne s’est exprimée au travers d’un interview sur «l’écologie (qui) reste traitée comme une question de second ordre» : Lucile Schmid, vice présidente du think tank La Fabrique écologique, ex-conseillère municipale et candidate PS et EELV aux élections législatives dans la 10e circonscription des Hauts de Seine (Issy-Vanves). Le Monde lui demandait de réagir sur son enquête qui montrait que «même si 94%des français estiment que le déréglement climatique est un enjeu capital, le débat public fait l’impasse sur le sujet « car la plupart des candidats esquivent ce théme » que «le climat n’intéresse pas les journalistes politiques, trop technique, anxiogéne…  Ils sont autant dans le déni que les candidats »

    « Au cours des derniers mois, le débat sur le sujet a été assez pauvre. Les discussions ont été notamment portés sur la production électrique et la chasse qui sont des sujets importants mais qui ne correspondent pas à l’ampleur des enjeux qui sont devant nous. L’écologie reste traitée comme une question de second ordre » expliquait elle dans le Monde du 18 Février en y mettant un  bémol : Le discours du président à Belfort le 11 Février «qui a toutefois eu le mérite de montrer qu’il n’existe par un seul modèle pour articuler l’urgence  écologique au projet de société. Cela arrive par le biais du nucléaire, mais le «presque candidat » s’est tout de même positionné en mettant en avant un projet baésue la fierté nationale, le réindustrialisation, la poursuite de la croissance et la technologie. D’autres candidats comme Yannick Jadot, par exemple, portent clairement un autre discours, axé plus sur la sobriété. Ceci dit, il y a tout de même une focalisation sur le nucléaire, et l’énergie, alors que les enjeux écologiques sont bien plus complexes» explique-t-elle en souhaitant parler plus d’aménagement du territoire interactions entre biodiversité et climat, des enjeux de la protection de la nature, de la place de la croissance et des technologies, ainsi que du financement

    Lucile Schmid a son explication sur cette absence de positionnement des candidats : « Ils  semblent tétaniser par la crainte de de voir se reproduire un nouvel épisode des «Gilets jaunes »… Ils peinent surtout à trouver une mesure de transformation écologique qui puisse convaincre la majorité de l’opinion : Les proposition restent très ségmentées sur le vélo, l’alimentation, l’agriculture… Seul le choix énergétique permet peut être de rassembler, au moins, une importante minorité » explique-t-elle en jugeant que « concernant l’écologie, il faut accepter de ne pas tut connaître, d’explorer. Il faudrait promouvoir le tatônnement politique plutôt que la certitude permanente, accepter une autre relation au savoir ». A ses yeux  «les médias ont un rôle déterminant pour structurer le débat. Installer de la profondeur, introduire de la nuance, décrire les horizons possibles… mais de nombreux sont soumis sans ce sceau court terme et à l’audience. Il est nécessaire d’imaginer de nouveaux espaces et des formats différents, notamment à la télévision…Il faut peut être envisager le journalisme politique autrement, élargir les angles et sortir de lac description stricto sensu des mœurs politiques »

  • CHRONIQUES DE LA PRESIDENTIELLES A VANVES

    ATTAL DANS LA CELLULE RIPOSTE

    Un organigramme très intéressant est paru dans le journal Le Monde  ce week-end, de l’équipe de campagne du non-candidat Macron où apparait bien sûr le vanvéen Gabriel Attal: Différents pôles ont été constitués, «société civile», «idées», «communication et stratégie numérique», «poilitique», avec une cellule «riposte» où apparaissent les noms de Gabriel Attal, Christophe Castaner et Stanilas Guerini. Elle est chargée de délivrer les éléments de langage à une dizaine de porte-parole de la campagne et du parti comme les députés Aurore Bergé ou Sacha Houlié, ainsi que les angles d’attaque à développer sur les plateaux TV. Elle se réunit déjà, une fois par semaine au siége de LREM. Ils sont prêts pour la déclaration de candidature officielle qui devrait intervenir la semaine du 21 février, avant ou pendant le salon de l’Agriculture que le chef de l’État doit inaugurer samedi 26 février. A partir de ce moment là, il est possible que Gabriel Attal porte-parole du gouvernement démissionne avec Julien Denormandie, ministre de l’Agriculture, de Sébastien Lecornu, ministre des Outre-Mer pour se consacrer entièrement à la campagne

    DES ELUS UDI PAS CONTENT DU TERME «GRAND REMPLACEMENT»

    L’UDI  par la voix de son président Jean Christophe Lagarde a appelé Valérie Pécresse à «sortir des thèmes de l’extrême droite» dans le cadre de sa campagne présidentielle. Ses élus et militants, comme à Vanves, ainsi que des vanvéens non encartés,  n’ont pas apprécié du tout, à quelques exceptions prés, lors de son meeting au Zénith qu’elle affirme notamment qu’il n’y a « pas de fatalité, ni au grand déclassement, ni au grand remplacement», et regretté qu’elle utilise l’expression « Français de papier » qui était celle de Jean-Marie Le Pen. Selon le président de l’UDI, «ces mots-là sont un piège tendu par l’extrême droite » et il faut « qu’elle sorte de ces thèmes qui étaient ceux de la primaire» de la droite.